Les ports

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Les ports, outils majeur de développement

D'Agadir à Lagwira, 1 700 Km de côtes représentent un peu plus de la moitié de toute la façade maritime du Royaume, et ce sur la partie la plus poissonneuse de l'Atlantique.

En 1 976, la Région du Sud, exception faite d'Agadir, était pratiquement dépourvue de toute installation portuaire significative.

Deux anciens wharfs, à Dakhla et Laâyoune, étaient inadaptés à une exploitation commerciale rationnelle.

Pourtant, les ports de cette côte étaient promis à une croissance d'activité importante à au moins trois titres:

comme lieu de transit pour les phosphates;
pour la réception, sinon le traitement et la valorisation, des ressources halieutiques
mais également pour le cabotage.

Ces facteurs militent pour la poursuite du développement rapide des ports du Sud, sur une côte où la nature n'a pas prévu de, havre naturel. Pour cela, il fallait voir grand, au-delà, des contingences actuelles, pour concevoir un Plan Directeur National Portuaire jusqu'à l'horizon 2010, de manière à accompagner et stimuler la croissance économique régionale.

L'exploitation rationnelle des richesses du Sud a nécessité non seulement la réalisation des ports d'Agadir, Sidi Ifni, Tan-Tan, Tarfaya, Lalyoune et Dakhla, niais aussi la mise en place d'abris de pêche nouveaux comme boujdour, Mirleft, Aglou, Sellab et Immessouan.

L'ensemble des travaux programmés représente un investissement global de 4 milliards de Dirhams, déjà réalisé aux trois quarts en 1 995.

20 ans après, quels sont les investissements réalisés?
Quel est l'état d'avancement des programmes mis en place?

(Les ports, outils majeur de développement) (Un fort impact économique et social)
(Des investissements) (Des réalisations ambitieuses et optimisées)
(le nouveau port de Dakhla) (Les trafics réalisés) (L'activité de pêche)(Le repos biologique)
(Les activités de plaisance et le transit des passagers) (Les perspectives)

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